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Las Margaritas

Explorateur
Pour les curieux qui veulent expérimenter ! Ces profils sortent des chemins classiques, offrant des saveurs vives, souvent fruitées et inattendues.
Punch aux fruitsPrunes
Prix régulier 20.00$ Prix de solde24.50$
Niveau de torréfaction
Notre échelle de torréfaction (de 0 à 5) indique la chaleur appliquée au grain, allant de Clair (notes fruitées et acidulées) à Foncé (richesse corsée et faible acidité)
  • Pays : Costa Rica
  • Région : Tarrazu
  • Altitute : 1700 masl
  • Procédé : Honey
  • Producteur : Emmanuel Solis / Las Margaritas
  • Variétés : Milenio

Espresso :

  • Ratio - 2:1
  • Temps - 25 secondes

Filtre :

  • 1:17
Las Margaritas
En vente à partir de 20.00$

En savoir plus sur le Las Margaritas

Ce café d'exception au procédé Honey (miel) plaira en priorité aux amateurs de méthodes filtres.

Au cupping, nous avons été plongés en enfance par son attaque aux notes de punch aux fruits. En fin de bouche, nous avons détectés un arôme de prunes noires.

Las Margaritas est une exploitation agricole familiale située dans la petite ville montagneuse de Santa Maria de Dota, dans le centre-sud du Costa Rica. Le producteur Emmanuel Solis a lancé Las Margaritas en 2013 dans le but de produire des cafés aux profils de haut calibre sans utiliser d'herbicides.

Les cerises sont soigneusement sélectionnées et triées avant que la parchemin humide ne soit extrait avec le "miel" intact. Le café est placé sur des lits africains surélevés pendant environ 18 à 22 jours, en fonction des conditions météorologiques.

Emmanuel Solís – Finca Las Margaritas, El Cedral de Dota, Costa Rica

Emmanuel Solís est issu d’une famille de producteurs de café de longue date. Ses grands-parents étaient déjà des figures reconnues de la culture caféière au Costa Rica et fondateurs de coopératives. En 2013, Emmanuel décide de lancer sa propre plantation, qu’il baptise Las Margaritas, en l’honneur de sa fille Margarita.

Située à 2 000 mètres d’altitude, dans la région montagneuse d’El Cedral de Dota, la finca accueille des variétés arabica dites exotiques comme Villalobos, SL28 et Gesha. À l’origine, le terrain servait de pâturage et était considéré comme trop froid pour la culture du café. Le pari audacieux d’Emmanuel s’est avéré payant : les caféiers y prospèrent aujourd’hui, et ce, dans un écosystème respecté. Il privilégie des méthodes sans pesticides et plante des arbres fruitiers indigènes pour favoriser l’ombre naturelle et la biodiversité.

Les cerises rouges sont triées à la main avec soin, puis dépulpées selon un procédé honey, conservant une partie de la pulpe pendant le séchage. Le café est ensuite déposé sur lits africains surélevés pendant environ 18 à 22 jours, selon les conditions climatiques.